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L’ESSENTIEL
L’empreinte écologique :
La notion d’empreinte écologique est apparue durant la Conférence de Rio en 1992, mais elle n’a été définie qu’en 1994.
L’empreinte écologique consiste à évaluer quelle charge fait peser sur la nature une population donnée.
Il s’agit de calculer quelle est la superficie « consommée » annuellement par chaque individu, en divisant la surface nécessaire à produire l’ensemble des biens consommés par la communauté (comme les terres cultivées ou les espaces aquatiques productifs) par le nombre d’individus dans cette communauté.
La surface terrestre « occupée » est constituée des surfaces bio productives, divisée en six catégories : carbone, produits forestiers, pâturage, cultures, zones de pêche , espaces bâtis
Voici leur répartition pour la France :

La capacité de charge :
Directement en lien avec l’empreinte : La capacité porteuse (aussi appelée capacité de charge, capacité limite, capacité de soutien, capacité biotique ainsi que capacité de support au Québec et carrying capacity en anglais). C’est la taille maximale de la population d’un organisme qu’un milieu donné peut supporter.
Au niveau mondial, l’empreinte écologique a dépassé la biocapacité depuis la fin des années 70.

Source : Global Footprint Network, 2010
LES FICHES DEVELOPPEMENT DURABLE DE L’APVF – N° 2
CALCULER L’EMPREINTE ECOLOGIQUE
SUR SON TERRITOIRE